Liberté & grands espaces

Avec ses 700 hectares de verdure et de biodiversité, La Réserve biologique des Monts d’Azur est une véritable mosaïque de milieux surprenants et fascinants : falaises rocheuses, prairies naturelles, boisements remarquables… Partez à la découverte de cet espace naturel préservé et de ses habitants.

Carte La Réserve des monts d'azur

Depuis plus de vingt ans, La Réserve des Monts d’Azur s’engage avec passion 
dans le développement de son territoire, afin de concilier activités touristiques 
et préservation de l’environnement.

Éco-tourisme & voyage responsable

Le projet de La Réserve des Monts d’Azur s’appuie sur un constat simple : éco-tourisme et vacances ne sont pas incompatibles dès lors que l’on développe une nouvelle forme de tourisme responsable et durable.

Le but n’est donc pas de créer un haut lieu du tourisme de masse où l’animal serait une marchandise. Ici s’affiche une volonté inébranlable de conjuguer tourisme responsable et écologie, dans un lieu où l’homme n’est pas le maître mais bel et bien un humble invité de la faune et de la flore sauvages.

Développer le tourisme responsable en France est une nécessité. Notre Réserve vise à servir de projet pilote, afin de démontrer l’importance d’un tourisme éthique et responsable.
Ici, tout est fait pour que l’empreinte du visiteur soit limitée et que sa place dans l’environnement soit repensée avant qu’il ne soit trop tard.

Aussi, chaque vente de séjours et de safaris est réinvestie dans le bon fonctionnement et la préservation de ce lieu exceptionnel.

 

Réserver un séjour

Un modèle de « ré-ensauvagement »

En Europe, une espèce de mammifère sur six est menacée d’extinction et une sur trois en déclin.
Face aux enjeux écologiques, en 2003 le Docteur vétérinaire Patrice Longour décide avec sa femme Alena, de développer un projet majeur dans la réinsertion d’espèces menacées. La Réserve des Monts d’Azur.

Ils le savent : les espèces disparaissent à un rythme 
tel que la question de la survie de la grande faune européenne est bel et bien posée. Le retour de la grande faune représenterait une solution très intéressante pour leur entretien et l’instauration, dans ces zones fragiles, d’activités économiques nouvelles, respectueuses de l’environnement.

Depuis, elle démontre par son existence, l’importance de la présence des grands herbivores sauvages dans les écosystèmes français et européens.
La Réserve des Monts d’Azur a donc été la première à ré-ensauvager des espèces ancestrales, puis à les réintroduire dans leur état naturel, faisant des émules en Hollande, Roumanie, Espagne, Croatie, et en Allemagne.

 

Découvrez les animaux

Les saisons changent

La Réserve des Monts d’Azur évolue tout au long de l’année et un offre un panorama changeant et des espèces à découvrir au fil des saisons.

Sélectionnez une saison et explorez les richesses de la Réserve tout au long de l’année

Printemps
La saison des naissances

Avec le retour des beaux jours, la vie éclot partout à La Réserve des Monts d’Azur. Les faons et poulains font leurs premiers pas, tandis que la Nature se pare de mille couleurs. LA saison du renouveau, où chaque instant célèbre la fragilité et la force de la vie sauvage.

Printemps
Mars : Les marcassins sont les premiers à errer dans la réserve

Les laies mettent bas au début du mois de mars. Leur gestation dure 3 mois, 3 semaines et 3 jours, pour un total de 115 jours.
La femelle donne naissance à deux ou trois marcassins, plus rarement à quatre ou cinq. Au bout d’une semaine, les petits en livrée sont capables de suivre leur mère dans sa quête de nourriture, jusqu’à l’âge de un à deux ans. Il est fréquent de rencontrer ces petites familles, dès le début du mois de mars, autour de nos chevaux domestiques, sans doute pour s’emparer des céréales et granulés que ces derniers abandonnent dans les prés.

Printemps
Mai : les premiers faons se tapissent dans les sous-bois

Début avril, les biches recherchent un lieu protégé par une végétation dense qui servira de refuge au faon à naître quand sa mère s’éloignera.
Dans La Réserve, les mises bas débutent vers la fin avril et s’achèvent début juin. Après 8 mois de gestation, la biche donne naissance à un faon. Vers la même époque, les chevrettes (femelles du chevreuil) se séparent de leur(s) jeune(s) de l’année précédente pour rechercher un lieu isolé où elles accouchent d’un à deux petits.
Pendant les premières semaines de leur vie, les faons passent la majeure partie du temps cachés des prédateurs dans de hautes herbes ou parmi les arbustes. Les mères les rejoignent fréquemment pour les allaiter et les toiletter.

Printemps
Juin : les bisonneaux au galop

Au mois de juin, les jeunes bisons traversent au galop les prairies. Le troupeau de bisonnes reste constitué même pendant la période des naissances. Après neuf mois de gestation, les femelles prêtes à mettre bas quittent le troupeau pour gagner une zone de quiétude avec peu de dérangement.
Deux à trois jours après s’être isolées du groupe, les femelles donnent naissance à un seul petit, d’un poids de 12 à 15 kg. Après quoi, elles regagnent le troupeau lorsque les veaux paraissent assez dégourdis pour rejoindre les autres jeunes. Tous ensemble, ils constituent une « nurserie ».

L’été
Une vie facile et tranquille

Les journées s’étirent sous le soleil, offrant à la faune un répit bienvenu. Bisons et chevaux sauvages se rassemblent près des points d’eau, tandis que les oiseaux peuplent le ciel de leurs ballets incessants. À La Réserve des Monts d’Azur, l’été est une saison paisible, rythmée par la douceur des jours et l’abondance de la Nature.

L’été
Fin juin : on mange à sa faim

Les herbivores profitent des faveurs de l’été pour reconstituer leurs réserves de graisse. Durant les heures chaudes, ils se réfugient dans la forêt, sinon ils préfèrent occuper les plaines où la nourriture abonde. Les pâturages ne sont ni cultivés ni fauchés. Les bisons, chevaux et cerfs assurent ces travaux agricoles et stimulent la biodiversité en favorisant la création de prairies et pelouses d’altitude où fleurissent plus de 40 espèces végétales !
Cette évolution spectaculaire de la flore n’est pas limitée aux seuls espaces ouverts. On la retrouve dans les zones forestières où les bisons ont pris leurs habitudes. En lieu et place d’une forêt méditerranéenne à pins sylvestres, apparaissent des prés bois qui rappellent ceux rencontrés au-dessus de 1600 mètres d’altitude dans le Mercantour voisin.

L’été
Juillet : les herbivores sauvages transforment le paysage

Les bisons pâturent tous les milieux. Forts de leur puissance, ils ouvrent des clairières dans la forêt que les chevaux sauvages et les cerfs façonnent en broutant les buissons devenus accessibles. Les sangliers achèvent le travail en labourant les sous-bois. De la sorte, ils accélèrent l’aération du sol et la germination des graines des plantes pionnières jusqu’ici en dormance. Les espaces nouvellement ouverts sont alors colonisés par les animaux plus petits, comme le chamois, le chevreuil ou le lièvre.

L’été
Août : les amours discrets du bison

Avec l’été qui s’avance, les fortes chaleurs s’estompent. Les premiers orages font leur apparition pour reverdir les prairies. Les bisonnes commencent à s’agiter. La saison des amours est bientôt là. Dès le milieu du mois d’août, les femelles précoces et celles qui n’allaitent pas, entrent en chaleur. Elles sont rejointes par les mâles qui leur proposent leur service avec une délicatesse dont pourraient s’inspirer quelques-uns ! Le bison mâle repère immédiatement le changement de comportement des femelles. Il lui faut alors évaluer précisément l’état hormonal de sa « chérie ». Pour cela, il dispose d’un organe de détection infaillible, situé juste en arrière du palais, l’organe de Jacobson. C’est pour cela qu’il flaire régulièrement la région génitale de la femelle et, tel un œnologue, aspire par la bouche les phéromones émises par la femelle. S’il pense le moment de la fécondation venu, le mâle consacre tout son temps à la femelle, l’accompagnant partout, parfois pendant plusieurs jours. Jusqu’à ce que la belle cède à ses avances.

Automne
Les amours du cerfs

Quand les jours raccourcissent et que la forêt se pare de teintes cuivrées, un son puissant s’élève : le brame du cerf. Les mâles s’affrontent dans d’impressionnants duels, testant leur force pour gagner le droit de s’accoupler. Ce rituel ancestral, à la fois intense et majestueux, marque le cœur de l’automne. À La Réserve des Monts d’Azur, la saison est rythmée par ces parades sauvages, où la Nature vibre d’énergie et de passion.

Automne
Septembre : Le pré-brâme

En fin d’été, les cerfs sortent de la forêt. Les plus vigoureux, généralement solitaires, marquent les jeunes arbres en s’y frottant violemment. Les jeunes mâles, ou daguets, intrigués par le manège des aînés, se regroupent en hardes. Ils s’amusent à simuler les joutes des adultes. Pendant ce temps, les biches continuent à parcourir La Réserve jusqu’aux premiers cris rauques des mâles début septembre. Répercutés par la montagne, les brames du cerf mettent à cran l’ensemble de la faune.
Chevreuils, chevaux sauvages et sangliers s’écartent prudemment. Seuls les bisons paraissent s’accommoder de cette agitation qui inspire même les plus jeunes d’entre eux. Il n’est pas rare à cette époque d’observer les mâles de deux et trois ans copier leurs aînés et faire la cour aux bisonnes.

Automne
Octobre : la folie amoureuse

Les ballets amoureux se poursuivent jusqu’à la fin du mois d’octobre, les biches allant, au gré de leurs envies, de place de brâme en place de brâme. Cette pratique de polyandrie assure la variabilité génétique de leur descendance. Parfois, un mâle distrait ou une femelle curieuse s’approche un peu trop près des biches courtisées par un cerf. La charge de celui-ci est immédiate et malheur à l’imprudent qui serait touché à l’abdomen, car une blessure peut conduire à la mort. Les combats de cerfs sont spectaculaires, mais rarement mortels. Les adversaires se défient d’abord de la voix, puis bois contre bois. Ils se repoussent à tour de rôle jusqu’à ce que le plus faible cède. Une femelle ne vaut pas la peine qu’on meurt pour elle, d’autant que les biches n’hésitent pas à tromper les vainqueurs avec les vaincus !

Hiver
Le temps de la survie

Quand le froid s’installe, la Nature entre en résistance. Bisons et chevaux sauvages fouillent la neige à la recherche de nourriture, tandis que les cerfs économisent leur énergie en profitant du travail des grandes espèces. À La Réserve des Monts d’Azur, l’hiver révèle la force et l’adaptabilité de la faune sauvage, souvent un spectacle d’entraide fascinant au cœur de la saison froide.

Hiver
Novembre : les herbivores raclent la végétation

À partir de novembre, la douceur automnale cède la place à la fraîcheur alpine. Si les journées sont encore agréables, la nuit, le mercure multiplie les excursions au-dessous de zéro. En décembre, on relève parfois des températures nocturnes de -10°C. Avec encore de belles journées ensoleillées qui rappellent la proximité du littoral. L’herbe et les végétaux dont se nourrissent les herbivores désertent les plaines. Dès la mi-novembre, la faune affamée gagne les sous-bois où elle sait trouver une nourriture non consommée pendant la belle saison. Elle arrive à se nourrir en raclant les dernières graminées, même sèches, en recherchant les quelques îlots de verdure persistant ou encore en cueillant les fruits des églantiers et des aubépines. Avant la grande disette de janvier et février, pas question de se montrer difficile !

Hiver
Décembre : Éviter la privation

Certaines années, le tapis neigeux est si épais qu’il rend vain la recherche de nourriture au sol. Les animaux doivent se contenter des ressources aériennes : lichens, aiguilles de pins, feuilles persistantes du genêt ou du buis, et, surtout, écorces. Nourritures peu consistantes qui permettent de tromper sa faim, en attendant mieux.

Hiver
Janvier : recherche de l'eau

Au cœur de l’hiver, la quête de l’eau devient prioritaire. Les mares et les ruisseaux sont couverts d’une épaisse couche de glace que les animaux doivent briser. La nourriture est, elle aussi, devenue très rare. Autrefois, les animaux migraient pour trouver des zones refuges.
Ces migrations sont aujourd’hui impossibles et il devient nécessaire de nourrir la faune sauvage si on ne veut pas la condamner à disparaitre définitivement. Pratiques courantes dans les pays de l’Est dès que les enneigements deviennent importants. Ainsi qu’à La Réserve lorsque les températures deviennent négatives.

Hiver
L'alimentation du cheval de Przewalski

Le cheval de Przewalski semble être le mieux adapté à ces conditions difficiles. Inlassablement, il parcourt la réserve en grignotant à peu près tout ce qui est à sa portée. Sa relative petite taille et les réserves de graisse disséminées dans tous ses muscles lui permettent de supporter les rations les plus frugales. En mars, il est à peine amaigri. Contrairement aux autres espèces !

Hiver
L'alimentation des Cervidés

Les hardes de cervidés, au complet, mâles, femelles et jeunes mélangés, accompagnent souvent les groupes de bisons. En cassant les branches, les arbustes ou la glace, les bisons offrent, aux biches, un accès inespéré aux ressources. On peut voir cela comme une coopération inter espèces.

Hiver
L'alimentation du Bison

Durant l’hiver, le bison a du mal à nourrir sa grosse carcasse de plusieurs quintaux. Aussi prend-il soin de ne pas épuiser précocement les réserves de graisse accumulées pendant l’été. C’est vital pour lui ! Il réduit ses déplacements, ses mouvements. Le troupeau se regroupe, les bêtes se serrent pour se tenir chaud. Ainsi peuvent-elles mieux affronter les températures extrêmes de février qui peuvent chuter au-dessous de – 20°C.

Hiver
Quand l’hiver s'achève à la réserve

Quand l’hiver s’achève, la plupart des animaux ont perdu du poids. Les réserves graisseuses ont été consommées. Cet amaigrissement est indispensable pour déclencher la période de reproduction au bon moment. Plusieurs hivers doux provoquent souvent des naissances décalées vers l’automne. Qui se révèlent dramatiques pour les jeunes nés trop tardivement et incapables de résister aux grands froids.

L’hiver est une saison clé pour la perpétuation des adultes. Il élimine les animaux trop faibles ou malades et parfois les adultes en pleine santé. Attention aux excès climatiques. Un hiver trop rude peut décimer les générations reproductrices, un hiver trop doux mettre en péril la génération à venir. Décidément, la vie est un fragile équilibre !

Hébergement écologiques

Osez un voyage authentique pour (ré)apprendre à vous connecter aux plaisirs simples mais tellement essentiels de la Nature.

En été ou en automne, vous pourrez ainsi passer la nuit dans les Écolodges et vivre une expérience rare. Conçus pour minimiser leur impact sur l’environnement, ces hébergements écologiques vous offrent tout le confort nécessaire tout en vous plongeant au cœur du sauvage. Ici, pas de superflu, juste l’essentiel : le murmure du vent dans les arbres, le ballet des animaux sauvages passant au loin, le chant des oiseaux au réveil et la sensation précieuse d’être en pleine nature.

 

Il est fortement conseillé de réserver vos séjours avant de venir sur place. Nous ne pouvons garantir la disponibilité de nos hébergements sans réservation préalable.

 

Dormez à la réserve

Des activités pour tous

Venez observer la faune dans son environnement naturel.
La Réserve des Monts d’Azur propose, pour toute la famille, plusieurs activités à faire tout au long de l’année. Vos vacances Nature commencent par un safari – différent selon les saisons : à pied ou en calèche en été, en raquettes ou en traineau l’hiver – mais toujours guidé par un naturaliste confirmé.

Profitez sur place des installations : affuts photos, piscine naturelle, mur d’escalade, ateliers et aires de jeux pour les enfants. Et plus récemment le Musée en plein air, qui retrace l’histoire de l’alliance Homme-animal sauvage depuis 30 000 ans.

Sur place, profitez de notre restaurant le Tahki, où notre Chef Jean-Baptiste propose une cuisine traditionnelle revisitée. Après ou avant votre safari, rendez-vous à la buvette pour vous désaltérer, prendre une petite collation ou déguster nos crêpes.

 

Pour des questions de sécurité, les enfants de -5 ans ne peuvent faire les safaris guidés à pied, et devront faire un safari en calèche, accompagnés des parents.

 

Réservez un safari

Un environnement à étudier

La Réserve des Monts d’Azur n’est pas qu’un lieu de tourisme animalier. C’est aussi un centre de recherches sur la faune. Elle accueille chaque année des étudiants et des enseignants chercheurs qui étudient la dynamique des milieux naturels ou le comportement de la guilde d’herbivores européens réunis pour la première fois depuis 15 000 ans.

 

Agir pour la réserve

Leurs Témoignages
sur nos expériences

Philippe MILLION

jeu. 25 janvier 2024
Que dire. Il faut y aller. Il faut vivre cette expérience d'entrer dans la réserve à pieds, accompagné d'un guide bien sûr, approcher les animaux sans jamais les toucher, apprendre sur leur vie, leurs rôles dans la nature, s'émerveiller d'une nature si imaginative qu'on s'efforce de détruire par pur égoïsme. L'idée de cette réserve est fantastique. Nous la faire partager est généreuse et géniale. L'argent dépensée aide au fonctionnement de la réserve. Alors allez y, toutes les équipes sont formidables, accueillants. Un week-end à refaire sans hésitation.

Jennifer LE BARZ

lun. 22 janvier 2024
Nous avons passé une magnifique journée! Nous avions réservé le premier créneau du matin pour le safari à pieds, c'était idéal pour apercevoir les animaux en toute tranquillité. La jeune femme à l'accueil est adorable. Le guide était passionné, il nous a expliqué beaucoup de choses très intéressantes et a bousculé nos idées parfois préconçues! La vie des animaux sauvages est totalement respectée et c'est la priorité de cette réserve. Le restaurant est joliment décoré, la cuisine délicieuse... Une journée parfaite ✨

Cotedazur_ Guide_instagram

mer. 17 janvier 2024
Je ne peux rien dire sur l'hôtel, mais le restaurant est absolument merveilleux, savoureux et pas cher, et la réserve elle-même est impressionnante par sa taille et la possibilité de voir des animaux sauvages comme ils vivent dans la nature. Je recommande de faire une excursion en calèche, ce n'est pas fatiguant et les animaux ont moins peur des calèches que des groupes de personnes. Un petit conseil : si vous venez avec des enfants, je vous conseille de les asseoir à côté du guide sur le siège tout à l'avant. Ils seront heureux !

Catherine Laurens

ven. 5 janvier 2024
Visite de la réserve en calèche, guide très intéressant et intarrissable sur les animaux et la nature plus largement. Une merveille de voir tous ces animaux libres et magnifiques. Allez-y sans hésiter, avec vos enfants, cela vous fera le plus grand bien.

Patrick Chagneau

mar. 2 janvier 2024
Une magnifique journée en famille... Un grand repas et une visite très agréables en deux calèches à la découverte des richesses du lieu.

Annabelle Kootz

mar. 2 janvier 2024
Je suis venue pour une balade à pied avec un guide d'une durée de 2h. C'était au top! Guide très douée avec beaucoup de connaissance mais sans en faire trop ça restais très compréhensif l'accueil super également et les animaux ont l'air vraiment bien ici

Caroline

jeu. 28 décembre 2023
Nous recommandons vivement la visite « safari à pieds » ! Enchantés de ce moment riche d’échanges grâce à notre guide Aymeric : un biologiste écologue passionné et engagé qui a su transmettre son authentique intérêt pour la faune locale et l’impact du projet de réensauvagement de ces différentes espèces sur cet environnement qui nous a ébloui et fait rêver pendant cette immersion. Nous avons, mon mari et ma fille beaucoup appris lors de cette visite grâce à ses connaissances très solides et à son professionnalisme. Donc un GRAND MERCI à Aymeric qui a partagé sa passion avec le groupe et ce sans compter !

ERIC et NADIA

jeu. 28 décembre 2023
Merci pour ce très bon moment passé au sein de votre réserve. Très très bon accueil, personnel attentif, et chaleureux Très belle chambre décorée avec goût et confortable avec une propreté irréprochable Le restaurant excellent, bravo au cuisinier et à la serveuse clôturé par un petit déjeuner copieux Plongée au cœur de la nature, avec des animaux approchés au plus près, le tout accompagné d un guide amoureux de cette si belle nature auprès duquel nous avons apprécié énormément cette immersion Encore merci à vous tous nous reviendrons au printemps pour les naissances

Razor Yes

lun. 18 décembre 2023
Un des meilleurs parcs des Alpes maritimes. Nous y sommes allés deux fois, une fois en été et une fois en hiver. Les animaux semblent en bonne santé et heureux. Et le personnel du parc (surtout les biologistes) est très compétent et passionné. Merci Julie.